Le principe ? Une 1/2 heure autour d’une lecture pour découvrir des oeuvres. Un rendez-vous qui permet d’enrichir votre compréhension des œuvres et d’en multiplier les interprétations.

L'écrin du jardin sera  à l'honneur pour ce rendez-vous.

Le principe ? Une 1/2 heure autour d’une lecture pour découvrir des oeuvres. Un rendez-vous qui permet d’enrichir votre compréhension des œuvres et d’en multiplier les interprétations.

Attention à la pieuvre : Victor Hugo vous raconte le combat d'un modeste héros contre une pieuvre dans un récit plein d'action, de violence, mais aussi d'amour.

Le principe ? Une 1/2 heure autour d’une lecture pour découvrir des oeuvres. Un rendez-vous qui permet d’enrichir votre compréhension des œuvres et d’en multiplier les interprétations.

Laissons nous enivrrer par le divin Bacchus !

Le principe ? Une 1/2 heure autour d’une lecture pour découvrir des oeuvres. Un rendez-vous qui permet d’enrichir votre compréhension des œuvres et d’en multiplier les interprétations.

À l'ombre de Rodin, découvrons la Divine Comédie de Dante.

Le principe ? Une 1/2 heure autour d’une lecture pour découvrir des oeuvres. Un rendez-vous qui permet d’enrichir votre compréhension des œuvres et d’en multiplier les interprétations.

Venez tendre l’oreille sous les arbres du jardin du musée pour partager une ode à la nature.

Pandore, Eve, Nout, Judith… de grandes figures de femmes et de déesses qui nous racontent des histoires sacrées, des mythes des origines, des exploits… Un parcours pour découvrir la manière dont les artistes se sont emparés de ces personnages et s’interroger sur le regard que nous leur portons aujourd’hui.

Une visite qui met en relief quelques chefs-d’œuvre peints du musée : des tableaux anciens aux peintures modernes en parcourant des mouvements et styles révélateurs d’une époque et d’une approche sensible du monde.

Dans le cadre du colloque « George Sand : Vivre, penser, écrire le temps », organisé par l’Université Lumière Lyon 2, l'IHRIM et la George Sand Association, le musée vous invite à une lecture de textes de George Sand par la comédienne Léa Gheerbrant, accompagnée d'une mise en musique par les élèves du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon : Anna Schneegnas et Nathalie Costelcalde (violons), Paul Erdmann (alto), Valentine Boonen et Martin Barré (violoncelles).

Au programme : musiques de Frédéric Chopin, Auguste Franchomme, Émilie Mayer, Fanny Mendelssohn-Hensel, Franz Schubert.

La classe de Jazz des élèves du Conservatoire de Lyon conclut cette journée par un concert d'exception, vivant et joyeux.

Les jeunes professionnels du Conservatoire se sont inspirés des œuvres de Robert Guinan pour porter une musique qui puise son énergie dans la défense des droits civiques. Les noirs américains ont inventé le jazz, qu'ils n'ont eu de cesse de renouveler et qui a conquis toute la socièté américaine, puis toute la planète grâce à son énergie virtuose.
Horace Silver a été une figure majeure du jazz qui a connu la renommée grâce à son album Song of my father, édité par Blue Note en 1964. Saxophoniste et pianiste, il a été interprète aux cotés de Stan Getz ou Miles Davis. Il  a aussi créé et dirigé ses propres formations qui ont interprété ses  compositions claires et souples, dynamiques et mélodiques.

La formation sera composée de Tina Foltete (piano), Maria Rakotonoel (chant), Raphael Descote (basse)Solal Laval et Yael Chevron (batterie), Adriel Calvelo (guitare) et Cleobule Perrot (trompette) et Lisa Bertrand (saxophone)

A partir des années 1970 et pendant plusieurs décennies, Robert Guinan a peint le Chicago des marginaux et des exclus. Ses tableaux portent un regard attentif, réaliste et empathique à la fois, sur des moments de vie urbaine, des scènes de bar, des instants nocturnes, des corps fatigués, noirs souvent, reposant sur des lits défaits, dans des chambres solitaires, ou assis dans un métro blafard. Son travail s’inscrit dans une période qui est aussi celle des droits civiques et des mouvements contestataires aux États-Unis, où les frontières entre les communautés devenaient plus poreuses, dans un Chicago en mutation, ville d’accueil et capitale du blues et du jazz. Héritant de Toulouse-Lautrec, de Degas, mais aussi de Jean Genet, la démarche et l’œuvre de Guinan interpellent aujourd’hui et reposent, à nouveau, la question de la représentation et celle du regard en peinture.

Tracy Sharpley-Whiting, professeur d’études afro-américaines à l’université Vanderbilt, Bernard Blistène, ancien directeur du Musée National d’Art Moderne – Centre Pompidou, croisent leurs lectures contemporaines de cette œuvre singulière.

Une discussion animée par Lucie Campos, directrice de la Villa Gillet.