Expositions archivées (depuis 2003)
Connecter les mondes
Exposition du 21 juin au 1er septembre
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La mondialisation a connu une accélération considérable ces dernières décennies mais elle s’inscrit également dans une continuité d’échanges et de dialogues interculturels. L’exposition Connecter les mondes présente un ensemble de formes artistiques d’hier et d’aujourd’hui qui ne connaissent pas réellement de frontière ou de limite géographique.
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Formes de la ruine
Exposition du 1er décembre 2023 au 3 mars 2024
« Tous les hommes ont un secret attrait pour les ruines » écrivait Chateaubriand. De l’Empire Romain jusqu’aux mondes imaginaires de la bande-dessinée, en passant par l’Égypte, les Amériques, jusqu’aux civilisations les plus lointaines, l'exposition Formes de la ruine établit un dialogue entre tous les types de ruines. Il s’agit d’interroger les sociétés à travers l’histoire et, en même temps, de découvrir le travail effectué par les artistes contemporains dans leur volonté de documenter et d’interpréter les ruines de nos sociétés industrielles et d’imaginer notre futur.
L’exposition s’intéresse à toutes les formes de pratiques des ruines, qu’il s’agisse de la collecte de fragments d’activités humaines sur et dans le sol, de l’aménagement d’espaces naturels à des fins mémorielles ou cultuelles, ou encore de la construction d’édifices comme les mégalithes, les pyramides et les ouvrages d’art des grands empires. L’exposition se propose d’organiser une sorte de périple des ruines, un dialogue continu entre les civilisations autour de quatre thèmes : la mémoire et l’oubli, l’équilibre entre nature et culture, le lien entre le matériel et l’immatériel, la tension entre présent et futur.
Conçue à partir de la réflexion d’Alain Schnapp, archéologue et historien, auteur de l’importante Une histoire universelle des ruines, parue en 2020, Formes de la ruine a pour ambition de proposer au public une transposition plastique et visuelle de sa pensée, avec plus de 300 œuvres présentées, des arts premiers à l’art contemporain.
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Robert Guinan. Chicago. En marge du rêve américain
Exposition du 2 juin 2023 au 27 août 2023
Le projet d’exposition trouve son origine dans un tableau de Robert Guinan, Portrait de Nellie Breda, 1973, acquis par le musée des Beaux-Arts de Lyon auprès de la galerie Le Lutrin en 1977. Le tableau représente la mère d’Emile Breda, un musicien noir ami de l’artiste, compagnon de ses virées nocturnes dans les bars de Chicago où il a rencontré la plupart de ses modèles, qui a servi lui-même plusieurs fois de modèle.
Originaire de Watertown, une petite ville du nord de l’état de New York, Guinan achève ses études secondaires en 1951. Son service militaire dans les forces aériennes en 1953 le conduit en Lybie et en Turquie. En 1959, il s’installe à Chicago pour y suivre à l’Art Institute des cours d’histoire de l’art, de peinture et de photographie. Il se met à peindre dans le style de l’expressionnisme abstrait et du Pop Art qui dominent alors la scène artistique. Dès 1965, il s’en détourne en réalisant des tableaux-objets où le collage est introduit. Á partir de 1970 il adopte un style réaliste, prenant désormais essentiellement pour modèle des déshérités, quelle que soit l’origine, le plus souvent des noirs, issus des anciens ghettos et des quartiers pauvres de Chicago.
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Poussin et l'amour
Exposition du 26 novembre 2022 au 5 mai 2023
Le génie de Nicolas Poussin n’a pas encore livré tous ses secrets. L’artiste est toujours considéré comme le maître de l’école classique française, l’archétype du peintre-philosophe. Qui sait aujourd’hui qu’il s’est également adonné au pur plaisir de peindre, en déployant une iconographie des plus licencieuses, et que certains de ses tableaux ont été jugés si érotiques qu’ils ont été mutilés, découpés, voire détruits, dès le XVIIe siècle ?
C’est grâce au thème de l’Amour, -qui a rarement été aussi central dans l’œuvre d’un artiste-, que l'exposition fera découvrir un Poussin inconnu, séducteur et séduisant, qui s’est fait remarquer par l’hédonisme titianesque de ses premiers tableaux romains, où les modalités de la domination de l’Amour sur les hommes comme sur les dieux sont déclinées et mises en scène à travers les mythes de l’antiquité gréco-romaine. L’Amour a constitué un sujet et une inspiration constante pour l’artiste, jusqu’aux derniers chefs-d’œuvre, méditations picturales sur les ressorts de la puissance inflexible de l’Amour, aussi bien créatrice que destructrice. Bien loin de l’image austère du peintre-philosophe, qui s’est imposée pour le grand public, il faut aujourd’hui montrer un Poussin sensuel, voire érotique, mais aussi peintre-poète proposant une méditation profonde sur la puissance universelle et tragique de l’amour.
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Éric Poitevin, invité
Exposition du 20 avril 2022 au 28 août 2022
Invité par le musée à travailler à partir des œuvres de ses collections, l’artiste Éric Poitevin a eu carte blanche pour produire de nouvelles photographies en résonance avec les œuvres de son choix : Lucas Cranach, Odilon Redon, Frans Snyders, Francisco de Zurbarán...
L’artiste porte ainsi un nouveau regard sur certaines œuvres connues ou moins connues du public, en les faisant dialoguer avec son propre travail photographique. Éric Poitevin propose ainsi un parcours et un éclairage totalement inédit qui offre des perspectives aussi évidentes qu’inattendues sur son œuvre et sur les collections.
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À la mort, à la vie !
Exposition du 27 novembre 2021 au 7 mai 2022 (45 000 visiteurs)
L’exposition a présenté les typologies de la vanité de la fin du XVe siècle à l’art contemporain, avec une sélection de près de 150 œuvres : estampes, gravures, dessins, peintures, sculptures et installations.
Le parcours illustrait la réflexion sur la finitude de l’existence humaine et ses expressions artistiques, faisant entrer en dialogue des œuvres du musée et des collections du macLYON. Les différentes sections de l’exposition invitent à une interrogation sur le sens de l’existence et le temps qui passe, sur la vanité des prétentions humaines de transcender les limites temporelles, et présentent la célébration par les artistes de la fragilité et de la beauté de la vie.
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Les Flandrin, artistes et frères
Exposition du 19 mai au 5 septembre 2021 (24 000 visiteurs)
Hippolyte (1809-1864), Paul (1811-1902) et Auguste (1804-1842) Flandrin comptent parmi les artistes les plus importants de la scène artistique à Lyon au XIXe siècle. Des trois frères, Hippolyte est le plus célèbre. Élève préféré de Jean Auguste Dominique Ingres, il se distingue en tant que peintre d’histoire et par de grands décors. Il compte également parmi les portraitistes les plus recherchés de son temps. Son frère cadet, Paul, se consacre lui aussi à ce genre mais son domaine de prédilection est le paysage. Le plus âgé, Auguste, demeure le moins connu, en raison d’un décès prématuré.
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Picasso. Baigneuses et baigneurs
Exposition du 18 mars 13 juillet 2020 puis réouverture et prolongation du 15 juillet 2020 au 3 janvier 2021 (42 000 visiteurs)
Le musée a proposé une relecture du thème de la baigneuse dans l’œuvre de Pablo Picasso avec des contrepoints d’œuvre d'artistes du XIXe siècle qui ont influencé Picasso dans le traitement de ce sujet : Cézanne, Manet, Renoir.
D'autres artistes contemporains ou suiveurs de Picasso ont également été présentés dans l’exposition alors qu'ils s'intéressaient aux baigneuses picassiennes : Francis Bacon, Henry Moore, Farah Atassi, Elsa Sahal. De nombreuses pièces d’archives relatives aux différents séjours en bord de mer effectués par Picasso et toute une série de photographies de l’artiste et de ses proches ont rythmé l’exposition.
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Drapé Degas, Christo, Michel-Ange, Rodin, Man Ray, Dürer...
Exposition du 30 novembre 2019 au 6 mars 2020
Comment une draperie est-elle mise en place ? Pour quelles raisons ce motif perdure-t-il jusqu’à aujourd’hui ? Comment expliquer son pouvoir de fascination ? Ce sont les questions que cette exposition entend poser, dans le dessein d’entrer dans la « fabrique » de la draperie et de se placer au plus près du geste artistique. En montrant les étapes d’élaboration d’une draperie, le visiteur découvrira les pratiques singulières des artistes depuis la Renaissance jusqu’au xxie siècle.
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L'art et la matière. Prière de toucher
Exposition du 13 avril 2019 au 22 septembre 2019
Le musée des Beaux-arts proposait à tous une nouvelle expérience de visite : découvrir la sculpture par le toucher. Basé sur l’expérience de personnes déficientes visuelles, le concept de l’exposition vous propose une nouvelle façon d’apprécier la sculpture, bouleversant les codes de visite habituels au musée. Grâce à dix reproductions d’œuvres à toucher, le musée vous invite à une découverte sensorielle et sensible des techniques et matériaux de la sculpture, de l’Antiquité au XXe siècle.
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Claude, un empereur au destin singulier (Lyon, 10 av. J.-C. - Rome, 54 ap. J.-C.)
Exposition du 1er décembre 2018 au 4 mars 2019 (34 000 visiteurs)
Il y a un peu plus de 2 000 ans, le 1er août 10 av. J.-C., naissait à Lyon Tiberius Claudius Drusus, fils de Drusus l’Aîné et d’Antonia la Jeune. En dépit de son appartenance à l’illustre famille impériale julio-claudienne, Claude n’aurait jamais dû régner sur le vaste empire romain. Le destin en a voulu autrement car, 51 ans plus tard, il fut proclamé empereur par la garde prétorienne après l’assassinat de Caligula, en 41 de notre ère. L’exposition eut pour ambition de mettre en lumière la vie et le règne de cet homme au destin singulier.
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Los Modernos. Dialogues France / Mexique
Expositions du 2 décembre 2017 au 5 mars 2018 (96 000 visiteurs)
Après son grand succès auprès du public du Museo Nacional de Arte de Mexico (MUNAL) et du MUSA de Guadalajara en 2015, où l’exposition a été vue par plus de 200 000 visiteurs mexicains, l’exposition Los Modernos fut présentée à Lyon. Elle a permis de comprendre les liens qu’ont entretenus les plus grands noms de l’art moderne de chaque côté de l’Atlantique avec, entre autres, Léger, Picasso, Bacon, Rivera, Siqueiros, Orozco. Deux scènes de l’art moderne, à travers les collections du MUNAL (Museo Nacional de Arte) de Mexico et du musée des Beaux-Arts de Lyon. Plus de 300 peintures, sculptures et photographies – une première au musée – ont mis en lumière les correspondances et les influences entre art moderne français et mexicain, mais également leurs ruptures et leurs spécificités.
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Le monde de Fred Deux
Exposition du 20 septembre 2017 au 8 janvier 2018 (pas de comptage)
Le musée des Beaux-Arts a rendu hommage à Fred Deux (1924-2015) en lui dédiant la plus grande rétrospective qui lui ait jamais été consacrée. L'exposition fit suite à deux donations récentes. La plupart de ses dessins commence par une tache, à l’encre de Chine ou en couleurs, qu’il travaille ensuite avec diverses techniques. Son travail s’organise par cycles et par séries, selon un temps en spirale, avec des progressions et des reprises de motifs plus anciens. À ses talents de dessinateur, Fred Deux ajoute ceux d’écrivain et de conteur, documentant et construisant le récit de sa vie.
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Henri Matisse, le laboratoire intérieur
Exposition du 2 décembre 2016 au 6 mars 2017 (162 000 visiteurs)
Tout au long de la vie d’Henri Matisse (1869-1954), le dessin occupa une place centrale, tant dans la diversité de ses moyens (crayon, fusain et estompe, plume et encre, calame ou pinceau...) que dans ses supports (feuilles de carnets, marges de lettres, ou beaux papiers). L’exposition présenta 250 œuvres et rendit compte des principaux moments de ce parcours articulés en quatorze séquences à la fois thématiques et chronologiques : des années d’apprentissage au tout début du XXe siècle, jusqu’aux études pour la chapelle du Rosaire à Vence (1948-1949), ultime chef-d’œuvre et aboutissement de toute une vie pour Matisse.
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Autoportraits, de Rembrandt au selfie
Exposition du 25 mars au 26 juin 2016 (71 000 visiteurs)
Autoportraits, de Rembrandt au selfie fut la première exposition réalisée dans le cadre d'un partenariat entre la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe, les National Galleries of Scotland à Edimbourg et le musée des Beaux-Arts de Lyon. L’exposition évoqua les différentes approches de l’autoportrait du XVIe au XXIe siècle à partir d’une sélection d’œuvres en provenance de trois grands musées européens. Véritable genre artistique, l’autoportrait apporte, au-delà des questions de style propres à chaque époque, de nombreuses informations sur la personnalité de son auteur, ainsi que sur son environnement historique et social.
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Lyon Renaissance, Arts et humanisme
Exposition du 23 octobre 2015 au 25 janvier 2016 (52 700 visiteurs)
L’exposition a pu révéler la richesse de la vie artistique lyonnaise au XVIe siècle. En rassemblant près de 300 œuvres, provenant des collections du musée des Beaux-Arts et de nombreuses institutions lyonnaises, françaises et étrangères, l'événement a permis de découvrir manuscrits enluminés ou dessinés, livres, dessins, tableaux, estampes, majoliques, meubles, objets orfévrés, objets archéologiques, monnaies, médailles, émaux peints, textiles et objets en étain.
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Dix ans d’acquisition, dix ans de passions
Exposition du 29 mai au 21 septembre 2015 (69 000 visiteurs)
Peintures, sculptures, antiquités, objets d’art, monnaies et médailles... Les œuvres acquises par le musée (580 de 2004 à 2015) viennent renforcer la présence de certains artistes, combler des manques chronologiques ou stylistiques. Sans la passion et l’engagement d’artistes, de collectionneurs, ou de donateurs, ces œuvres n’auraient pu intégrer les collections. Ce parcours était à la fois un hommage à la générosité des mécènes et un bilan de la politique d’acquisitions rendue possible grâce à l’accompagnement de la Ville de Lyon, de la Région Rhône-Alpes et de l’État.
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Jacqueline Delubac, le choix de la modernité : Rodin, Lam, Picasso, Bacon
Exposition du 7 novembre 2014 au 16 février 2015 (77 800 visiteurs)
En insistant sur l’audace des choix de Jacqueline Delubac (1907-1997), l’exposition a permis de découvrir à la fois la comédienne, la femme « la plus élégante de Paris » mais aussi et surtout l’amatrice d'art qui légua trente-huit œuvres de première importance au musée des Beaux-Arts de sa ville natale en 1998.
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L'Invention du Passé. Histoires de cœur et d'épée 1802-1850
Exposition du 19 avril au 21 juillet 2014 (28 000 visiteurs)
L’exposition s’intéressa à la représentation de l’Histoire dans les arts figurés en Europe au XIXe siècle, et plus particulièrement au regard porté par les artistes sur le Moyen Âge, la Renaissance et le XVIIe siècle. Sous le pinceau de Dominique Ingres, Paul Delaroche et leurs contemporains européens, prennent vie les amours et les destins tragiques des rois et des reines, des princesses et des héros. Le musée des Beaux-Arts s’associa au Monastère royal de Brou à Bourg-en-Bresse qui présentera dans le même temps l’exposition L’Invention du Passé, Gothique mon amour... 1802-1830.
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Joseph Cornell et les surréalistes à New York : Dalí, Duchamp, Ernst, Man Ray...
Exposition du 18 octobre 2013 au 10 février 2014 (99 000 visiteurs)
L’exposition Joseph Cornell et les surréalistes à New York a permis de découvrir l’œuvre de l’artiste américain, pionnier du collage, du montage et de l’assemblage, des années 1930 à 1950. Elle a proposé de situer son œuvre dans le contexte du surréalisme, courant qui connaît alors son apogée aux États-Unis. Près de 200 œuvres ont été montrées parmi lesquelles des pièces majeures de Joseph Cornell (1903-1972), mais aussi d’artistes emblématiques du surréalisme comme Salvador Dalí, Marcel Duchamp, Max Ernst et Man Ray alors installés à New York.
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Métissages : Les collections Denise et Michel Meynet
Exposition du 22 février au 19 mai 2013, prolongée jusqu'au 24 juin 2013
L’exposition Métissages proposa la découverte des collections singulières d’un couple de collectionneurs, amateurs passionnés et donateurs : Denise et Michel Meynet. Constituées d’œuvres d’art où le matériau joue souvent le premier rôle, elles présentent des objets d’origines diverses, de l’art africain à la culture urbaine en passant par la céramique et les estampes contemporaines. En 2011, Denise et Michel Meynet ont fait une importante donation de céramiques au musée. Quelques pièces ont été révélées au public à l'occasion de l'exposition.
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Soulages XXIe siècle
Exposition du 12 octobre 2012 au 28 janvier 2013 (122 000 visiteurs)
Le Musée des Beaux-arts de Lyon a accueilli, en partenariat avec la Villa Médicis, une trentaine d’œuvres de Pierre Soulages dont plusieurs tableaux inédits. Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
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Auguste Morisot (1857-1951), du crayon au vitrail
Exposition du 23 juin au 24 septembre 2012
En 2008, le musée a acquis une série de dessins et aquarelles de l’artiste, pour la plupart des projets de vitraux des années 1890-1900, réalisés pour décorer son appartement lyonnais. Les scènes intimistes de la vie quotidienne représentant son épouse et sa fille, de style Art Nouveau, ont souvent été rapprochées de l’œuvre de Maurice Denis ou des Nabis. L'exposition, complétée par des prêts extérieurs, a permis de mieux faire connaître l’œuvre de cet artiste complet dont les thèmes de prédilection sont la majesté de la forêt et les joies du foyer.
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Un jour, j'achetai une momie... Émile Guimet et l'Égypte antique
Exposition du 30 mars au 2 juillet 2012 (37 000 visiteurs)
Quand, en 1865, Émile Guimet (1836-1918) part visiter l'Égypte, il ne se doute pas que ce voyage va bouleverser sa vie. Fasciné par l'archéologie, la philosophie et l'histoire des religions orientales, une passion qui va l'entraîner jusqu'en Extrême-Orient, le jeune industriel lyonnais commence alors une exceptionnelle collection.
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L'Atelier d'Étienne-Martin
Exposition du 22 octobre 2011 au 23 janvier 2012
Le musée des Beaux-Arts de Lyon a consacré une rétrospective à Étienne-Martin (1913-1995), l’un des plus grands sculpteurs français du XXe siècle. Contemporain du Nouveau Réalisme, de l’art pop et du Minimal, l’œuvre d’Étienne-Martin demeure résolument isolé. Dès l’origine, et jusqu’à la fin, son travail fut placé sous le signe de l’expérimentation, de l’usage de matériaux a priori étrangers au monde de la sculpture et d’une quête spirituelle complexe, ouvrant de nouvelles perspectives à l’art contemporain.
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Le génie de l'Orient, l’Europe moderne et les arts de l’Islam
Exposition du 2 avril au 4 juillet 2011
Au cours du XIXe siècle, l’Europe découvre un nouvel univers visuel, celui des arts de l’Islam. L’exposition illustre les visions fantasmées de l'Orient et La théorie de l'ornement et des artistes avant-garde, à travers différents parcours individuels ou collectifs : Pionniers, voyageurs, photographes ou collectionneurs sont fascinés par l’originalité de cette nouvelle culture visuelle alors même que l’histoire de la représentation est en crise.
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Louis Cretey, un visionnaire entre Lyon et Rome
Exposition du 22 octobre 2010 au 24 janvier 2011
Suite aux travaux de restauration du décor du réfectoire de l’abbaye Saint-Pierre, le musée a consacré une grande exposition à Louis Cretey, peintre majeur du XVIIe siècle. Plus de soixante tableaux et dessins provenant pour la plupart de collections privées mais aussi d’institutions françaises et étrangères ont célébré l’artiste. Son style, poétique et expressif, délicat en même temps que profondément dramatique, fait du peintre un visionnaire, véritable précurseur de l’art moderne.
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Un siècle de paysages, les choix d'un amateur
Exposition du 19 juin au 4 octobre 2010
Exposition prolongée jusqu'au 31 octobre En quittant l'atelier pour peindre en plein air, en France ou en Italie, les artistes du XIXe siècle, représentent la nature pour elle-même. De Pierre Henri de Valenciennes, Camille Corot à Eugène Boudin, 70 œuvres d'une collection privée retracent une histoire du paysage en peinture avant l'impressionnisme.
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Bram et Geer van Velde : Deux frères, un nom
Exposition du 17 avril au 19 juillet 2010, prolongée jusqu'au 2 août 2010
Le musée des Beaux-Arts de Lyon proposait en 2010 un regard croisé sur deux artistes majeurs du XXe siècle, les frères Bram van Velde (1895-1981) et Geer van Velde (1898-1977). L'exposition a analysé et confronté la peinture des deux frères d'origine hollandaise. Comment se sont-ils affranchis de toutes références artistiques pour exprimer leur propre individualité ? Pourquoi l'un s'écarte du réel et des codes habituels de la peinture quand l'autre demeure fidèle au cubisme ?
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Picasso, Matisse, Dubuffet, Bacon... Les modernes s'exposent au musée des Beaux-Arts
Exposition du 10 octobre 2009 au 15 février 2010
Le musée des Beaux-Arts conserve une très riche collection d'œuvres du XXe siècle. La collection fut présentée au public dans les salles d'expositions temporaires et complétée par des prêts extérieurs. Près de 180 œuvres ont témoigné des grands mouvements artistiques du XXe siècle. Certaines pièces, méconnues du public, longtemps conservées dans les réserves, ont été visibles pendant l'exposition.
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Juliette Récamier, muse et mécène
Exposition du 27 mars au 29 juin 2009 (25 800 visiteurs)
Juliette Récamier (1777-1849) reçut dans son salon toutes les personnalités importantes de son temps, la première moitié du XIXe siècle. L'exposition propose d'explorer ce personnage à travers son rapport aux arts. Juliette Récamier fut en effet tour à tour : modèle , commanditaire , collectionneuse et initiatrice d'un nouveau goût.
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1945-1949. Repartir à zéro, comme si la peinture n'avait jamais existé
Exposition du 24 octobre 2008 au 2 février 2009
Cette grande exposition fut consacrée à l'art de l'après seconde guerre mondiale, en Europe et en Amérique du nord. Nombre d'artistes choisissent de "repartir à zéro, de peindre comme si la peinture n'avait jamais existé", pour reprendre la formule du peintre américain Barnett Newman.
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Nicolas Poussin, La Fuite en Égypte, 1657
Exposition du 15 février au 19 mai 2008
Le musée de Lyon a organisé, pour l'arrivée du tableau dans ses collections, une exposition exceptionnelle La Fuite en Égypte de Nicolas Poussin (1594-1665), conçue autour de cette pièce majeure de la peinture du XVIIe siècle. Dix tableaux de Nicolas Poussin, provenant des plus grands musées européens, ont été montrés en France pour la première fois depuis la grande rétrospective parisienne de 1994. Véritable décryptage du tableau, l'exposition a exploré La Fuite en Égypte selon différents points de vue, historique, iconographique, ou encore stylistique.
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Le plaisir au dessin Carte blanche à Jean-Luc Nancy, philosophe
Exposition du 12 octobre 2007 au 14 janvier 2008
Montrer les gestes du dessin pour faire sentir en eux les élans de ce plaisir du corps dessinant, montrer aussi quelles formes, images, emblèmes du plaisir s'offrent à ces tracés, tel fut notre propos. La sélection de cent cinquante dessins fut représentative de toutes les écoles et s'inscrivit dans une période chronologique large, du XVIe siècle jusqu'à nos jours. L'exposition permit de mettre en valeur la très riche collection d'arts graphiques du Musée des Beaux-Arts de Lyon.
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Le temps de la peinture Lyon, 1800-1914
Exposition du 20 avril au 30 juillet 2007
Dans le cadre de la grande manifestation réunissant les institutions culturelles lyonnaises autour du thème L'Esprit d'un siècle, Lyon 1800-1914, le musée des Beaux-Arts présente une exposition consacrée à l’École lyonnaise de peinture.
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Jacques Stella, 1596-1657
Exposition 17 novembre 2006 au 19 février 2007
Exposition consacrée à Jacques Stella, peintre lyonnnais qui fut un des principaux acteurs de la Renaissance artistique au temps de Richelieu. Cette exposition fut l'occasion pour le musée, d'évoquer la collection et la bibliothèque du peintre, qui ont fait aussi l'objet d'une étude dans le catalogue. Le médaillier a parallèlement mis en valeur le rôle de la médaille au temps de Jacques Stella.
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La peinture à Lyon au XVIIe siècle : Accrochage dans les collections du musée en écho à l'exposition "Jacques Stella (1596-1657)"
Accrochage du 3 octobre 2006 au 15 janvier 2007
Histoire d'un œil, La collection d'André Dubois 6 juillet - 25 septembre 2006 La collection d'art moderne du musée des Beaux-Arts de Lyon s'est enrichie en 2004 de manière significative grâce à la générosité d'un collectionneur lyonnais, André Dubois (1931 - 2004). Cette collection comprend notamment 9 peintures et 9 dessins de Albert Gleizes. Grâce à elle, le musée conserve aujourd'hui l'ensemble le plus important des œuvres de l'artiste dans une collection publique française. Témoignage du goût et des centres d'intérêt d'un collectionneur peu conventionnel, l'exposition-dossier est un hommage à la sensibilité de André Dubois et à son importante collection, qui vient renforcer la diversité de la collection d'art moderne du Musée des Beaux-Arts de Lyon.
Géricault, la folie d'un monde
Exposition du 21 avril au 31 juillet 2006
Plus d'une centaine d'œuvres graphiques, une quarantaine de tableaux et deux sculptures ont livré la vision si particulière que cet artiste majeur du romantisme français portait sur le peuple, les guerres, les enfants, la sexualité, les faits divers et les épisodes historiques de son époque.
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L'Énigme du retable dispersé
Exposition du 1er avril au 19 juin 2006
Cette exposition a permis de faire le point sur une recherche en cours : un ensemble de plus de 40 plaques d'émaux peints à Limoges au début du 17e siècle ayant vraisemblablement appartenu à un grand retable. Le site internet, issu d'un partenariat avec l'ENS-LSH, permet de suivre l'enquête.
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Braque-Laurens, un dialogue
Exposition du 21 octobre au 30 janvier 2006
Le peintre Georges Braque (1882-1963) et le sculpteur Henri Laurens (1885-1954) étaient liés par une profonde amitié. Leurs œuvres témoignent du dialogue de ces deux artistes majeurs du XXe siècle. Exposition en collaboration avec le Musée national d'art moderne (Centre Pompidou, Paris).
Dossier de presse
L'île de Failaka, Archéologie du Koweït
Exposition du 16 juin au 3 octobre 2005
Au débouché du Tigre et de l'Euphrate, l'île de Failaka témoigne de la riche histoire du golfe Persique dans l'Antiquité. Principalement au IIIe millénaire avant notre ère, quand l'île est une étape entre la Mésopotamie et l'Indus, et à l'époque hellénistique, où elle bénéficie des relations commerciales entre les successeurs d'Alexandre le Grand, l'Inde et l'Arabie du Sud.
Dossier de presse
Impressionnisme et naissance du cinématographe
Exposition du 15 avril au 18 juillet 2005
Peinture. Photographie. Cinéma. Trois arts majeurs de l'image et de la communication confrontés le temps d'une exposition. La dette du cinéma naissant vis-à-vis des maîtres impressionnistes, Monet, Pissarro, Renoir (père de l'un des plus importants cinéastes français) paraît alors évidente.
Dossier de presse
Le Royaume Ougarit, aux origines de l'alphabet
Exposition du 21 octobre 2004 au 17 janvier 2005
A l'occasion du 75e anniversaire, de la découverte du site archéologique d'Ougarit (Syrie), près de 350 objets évoquaient la vie quotidienne et le rayonnement de l'antique capitale de ce royaume levantin, à la fin du IIe millénaire avant notre ère. Exposition en collaboration avec la Direction générale des Antiquités et Musées de Syrie et le Musée du Louvre.
Dossier de presse
Histoires d'un musée, exposition-parcours du Bicentenaire
Exposition du 16 septembre 2004 au 2 mai 2005
Dans le cadre de la célébration des 200 ans du musée des Beaux-Arts, un parcours à travers les collections invitait à remonter le temps : de l'abbaye bénédictine au musée du XXIe siècle.
Dossier de presse
Fernand Léger
Exposition du 1er juillet au 20 septembre 2004
Près de cinquante ans après la rétrospective de 1955, le musée des Beaux-Arts célébrait à nouveau l'œuvre de Fernand Léger (1881-1955). Prêts exceptionnels du musée national Fernand Léger de Biot, du Musée national d'art moderne (Centre Pompidou, Paris) et de quelques grandes institutions, privées et publiques, françaises et étrangères.
Dossier de presse
La Vie des formes, Henri Focillon et les arts
Exposition du 22 janvier au 26 avril 2004
Reconnu comme l'un des plus grands historien de l'art français du XXe siècle, Henri Focillon (1881-1943) est nommé en 1913 directeur des musées de Lyon. Par son regard et son engagement, il marque fortement l'histoire de l'institution.
Dossier de presse
Pierre Buraglio, Avec qui ? A propos de qui ?
Exposition du 15 janvier au 3 mai 2004
A l'invitation du musée, le peintre Pierre Buraglio (né en 1939) s'est, pendant près de deux ans, rendu dans les salles et les réserves du musée. De sa sélection d'objets et de tableaux des cinq départements, il a créé un ensemble d'oeuvres originales, conçues en étroite résonance avec la collection du musée des Beaux-Arts. L'exposition présentait une soixantaine de dessins au fusain ou au crayon glasochrome, de montages ou de découpages, une série de peintures sur portes de HLM et quelques oeuvres anciennes de l'artiste.
Dossier de presse
Lyon, carrefour européen de la franc-maçonnerie
Exposition du 28 juin au 22 septembre 2003
A l'occasion du 275e anniversaire de la Franc-Maçonnerie, la Ville de Lyon organisait au musée des Beaux-Arts une exposition mettant en évidence l'importance de la ville dans cette association ésotérique qui suscite toujours beaucoup de fascination et un peu de méfiance.
Dossier de presse
La collection Winthrop
Exposition du 14 mars au 26 mai 2003
Les chefs-d'œuvre de la collection de Grenville L. Winthrop (1864-1943), léguée au Fogg Art Museum de l'Université de Harvard, près de Boston, était pour la première fois présentée en Europe. Exposition présentée ensuite à la National Gallery de Londres, puis au Metropolitan Museum de New York.
Dossier de presse
Symboles Sacrés : quatre mille ans d'art des Amériques
Exposition du 21 février au 28 avril 2003
Quelque 180 objets, datant de 2500 ans avant J.-C. à l'arrivée des premiers Européens au XVIe siècle, évoquaient la richesse de la création artistique des Premières Nations des Amériques. Ils portaient également témoignage de la vie de leurs créateurs : croyances, histoire et société. Exposition organisée à travers les collections des musées américains de FRAME.
Dossier de presse
Alfred Sisley, poète de l'impressionnisme
Exposition du 10 octobre 2002 au 6 janvier 2003
On peut légitimement considérer Sisley comme un des représentants les plus purs du mouvement impressionniste. L'exposition mit en lumière le caractère très personnel de la technique de Sisley. Son attachement indéfectible au travail direct sur le motif le poussa en effet à adopter des solutions techniques qui lui furent propres.
